vendredi 7 mai 2021

À l'abordage...

Au regard d’un marché de travailleur qui se raréfient et d’offres d’emplois qui ne trouvent pas preneurs. Pendant que les salaire augmentent. Avant que les prix haussent. Les investisseurs sont toujours bien accueillis en France. Un pion sur carrefour, ADP et Air Liquide en règlement différé parmi les entreprises du CAC 40, indice toujours plus lent à anticiper la reprise et trop attentif aux lueur de NY. La conjoncture du USD n’est pas si mauvaise en ZE. Mais voilà, les français sont frileux à la spéculation comme si cela était sale. Ceux-ci, propriétaire et détenteurs d’épargnes, possédent des biens qui mis bout à bout augmentent les chances de sortie de crise. Un luxe bien illusoire que ne vouloir s’occuper d’argent, une aversion au risque plus qu’une vertu mal placé. Les banques ont digéré le Brexit et la sortie de la GB de l’UE avec la perte d’influence de la City. Une influence déménagé à Amsterdam mais dans quelle mesure? Cette crise du Covid 19 est un second souffle. Les commodities sont le refuge des investisseurs qui donnent un sens à la hausse des prix et de l’inflation. Les banques ont toutes à y gagner sur le trading, segment du secteur encore rentable et valorisant. Le luxe apprécie une reprise de la croissance chinoise mais le secteur de l’énergie est mal noté par les observateurs, Engie notamment.

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