mardi 18 avril 2023

Un spread...?!

Mieux que l’épargne de papa, il faut penser, multiplication des fonds valorisés sur levier et investis en actifs. En cas de crise, ses fonds profiteront de la détente sur l’obligataire et de la dynamique des actifs à forte valorisation verte avec l’appuie des politiques obligées par les conditions de dégradation de notre environnement proche. Du pain bénit pour les banques qui offrent des produits au label ISR, sécurisant les ESG en prenant en compte les CDRS proposés pas les banques US. À coutre courant, aujourd’’hui, les acteurs financiers ont du mal à appréhender les indicateurs et les risques. Sans bonus, difficile de performer. En France, l’épargne est importante et bien rémunéré, alors que les entreprises souffrent d’un manque de crédit. Les Livrets et PEA progressent avec les taux. À l’image de la place de Londres, l’obligataire reste très prudent ainsi que sa progression. L’attention est portée, pour et par les banques. L ‘OPCVM ou le Gilt sont sensible aux écarts et épargnent aux institutionnel des problèmes systémique pour leur structure. Si les choses ne doivent pas rester en l’état, c’est par l’obligataire que nous serons alerté d’une crise ou du début de l’effondrement d’un pan. Qui achète une maison bâtie sur de mauvaises fondations? Ce qui donne la vie, c’est la vie elle-même, la nature. Prenez du spread…! Ou une option de swap sur le flor. On ne va pas tuer un débiteur avant qu’il ne paie son crédit. L’inflation, dans les pays développés, fait plier la consommation. Le crédit est ce qu’il reste au commerce. On s’adresse maintenant à une génération qui n’aura jamais rien. Avec des politiques familiales accommodantes, il y aurait plus d’enfants abandonnés. Que ce soit la première ou la dernière, c’est celle que l’on choisit et qui s’offre. Pour que l’élan ce fasse, c’est sur le plancher, au plus bas, que nous éclairons notre pensé et que nous observons les domaines qui portent le souffle de l’activité, l’air et l’environnement de nos cités. Ce ne sont pas les pauvres qui coûte cher à la société. Après avoir mit les travailleurs en concurrence, certains voudrait les détourner pour les opposer au allocataires. Ceux qui s’en sortiront, nous expliquerons comment. On ne leur demande pas d’être meilleur, ils le sont déjà.

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