Des taux sur une finance durable

L’eugénisme écologique va nettoyer la politique décadente de la France, c’est une idée pour le monde de l’humanité. Avec en toile, la destruction de la cohésion sociale, de l’éthique, ainsi, nous pourrions retrouver la vertu des relations sociales. Les invendu bio, en période d’inflation pourrissent sur les étales. On va finir par acheter ce dont personne ne veut, en attendant la suite de la parabole, c’est aux institutionnels de donner et promouvoir les tendances sur les marchés monétaires. C’est même un repli et une désertion des marchés industriel. Aux banques fédérales de faire valoir la transition par leur résilience à la crise des taux, dans l’impasse de l’inflation, retardé mais toujours prompt à limiter les investissements et l’économie d’épargnants sensibles à la conjoncture. Un peu d’ordre à remettre dans le marché bio, augmenter la taxe de production pour éviter les invendus de fruits et de légume, parfois cultivé en Amérique Latine, en Afrique et au Moyen-Orient. Dans le bio comme ailleurs, c’est dans le luxe, le café et le chocolat qu’il est possible de réduire les pertes en transport. Passionné par les techniques financières, il faut savoir encore rêver. La thérapie, c’est la liberté et l’expression non-violente de nos intérêts à défendre des restrictions, toujours bonne à prendre sur zone de démocratie directe, dans l’ordre bourgeois du gauchisme contemporain. Dans le même temps, les magasins ordinaires n’ont parfois plus rien à certaines heures. Les fonds souverains soutiennent la croissance verte en Europe. En quoi le bio a besoin d’aide? Difficile à estimer, la sécurisation des émissions d’obligations vertes va de pair avec la capacité de celles-ci à consolider les fonds. Il faut faire avec les courbes chaudes de la nature, la protection des normes et label ESG dans une économie écologique. Un bon gadget… C’est un truc moins cher qui fait consensus où il faut trouver des marges. Sur toutes les échelles, c’est la norme qu’on accepte ou que l’on rejette. En faisant appel à la société civile pour justifier des choix sur la fin de vie, la France s’enfonce un peu plus dans l'avenir, sans aucune excuse. Si le rôle est celui de toujours grimper plus haut, chercher l'illusoire, ayant abandonné la matière.