dimanche 23 avril 2023

La sociale : Héritage ou malédiction

Le mouvement socialiste, en Europe, laisse le choix entre l’individualisme et l’égoïsme d’une classe caché derrière leur représentation publicitaire. La socialisme ne laisse aucune chance à l’Europe. Le RU c’est d’ailleurs retiré parce qu’il n’y a pas d’avenir en Europe. Les écarts sont à chercher entre la France et l’Italie, deux pays fragilisés par leurs économies déficitaires. Dans cet individualisme sociétal, dissimulé entre l’hypocrisie de fausses confidence et l’attrait du négatif, d’autres chercheurs en quête d’autre chose, observent les pensées différentes et alternatives, dans un monde, où il n’y a pas de travail en commun… Il n’y a rien ! Ce qui manque aux natifs, c’est l’expérience des voyageurs. Comme dans les cités décomposés par la délinquance, subjectivement, ils vont nous suggérer quoi à l’avenir? Dans les entreprises se sont les socialistes qui font le trie et qui descendent les poubelles à 40 ans. 2 ans de plus, c’est comme la dernière heure travaillé, plus profitable, elle est plus productive pour le travailleur. Des droits pour certains mais pas pour toi… Le marie poubelle qui ne sait rien faire dans une maison. Nous pensons des idées de toute chose qu’il faut garder secret et caché des profiteurs de crise. Maintenant, vous pouvez être sensible aux données économiques, elles ne sont pas donné mais trié pour entrevoir des possibles. Des jeunes, des pauvres et des chômeurs, au besoin femmes qui participent à la féminisation et forment ainsi, une nouvelle maternité pour les enfants souffrant de la crise et de la ségrégation. Ainsi, ils étaleront leur viande au bord de la piscine sans sortir du bain. La famille était le dernier verrou à faire sauter. Dans une société atomisée, nous cherchons des électrons libre, égaux à aux même dans les contradictions de la Nation et de la République. Il n’y a pas de règle, jouez, l’important est de ne pas perdre. En France, la jeunesse est asservit pour un ordre nouveau ainsi qu’en Italie ou en Allemagne. Au regard de la démographie, il n’y a plus de place pour le vivant ou pour la liberté, mais pour des hommes debout.

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