Faut laisser faire les spécialistes

Nous attendions notre heure dans le grand concert. Aujourd’hui, nous nous préparons à la guerre et nous ne passerons pas le chas mais de l’autre côté, toujours… À force de repousser les limites, la masse de celles-ci s’amplifie et s’oppose par magnétisme aux forces contradictoires. Qui peut accepter que l’Europe soit encore en guerre? La vie est une folie… Profitez-en. Les banques, aux USA doivent se débrouiller seules alors que le Trésor américain travaille sur les déficits publics. Bonne ou mauvaise nouvelle pour J. Yellen, le taux à 30 ans atteint 3,8%, alors que le 10 ans décroche cette semaine des 3,4% pour toucher les 3,3%. Nous pouvons, en Europe, flatter la BCE et la cohérence de l’Union. Bien qu’à l’Est, l’Europe s’enfonce dans la guerre, l’Allemagne, conforté par la position du RU, prend le leadership dans la mise en guerre de l’économie européenne. Avec un Euro à 1,088 USD, le Dollars reprend de l’envergure, renforcé par les difficultés et la fragilité de son tissu bancaire. Si ça traine, ça va coûter de la peine. Il est encore temps de mettre le feu mais cela sent le roussit . Pendant que les enfant jouent dans les caves avec les rats, le baril de Brent stagne à 74 USD. L’industrie décarbonatée détourne les investissements, les élus et les travailleurs, tous puissant qui nous veulent à leur service, alors que nous resterons libre, dan le placard, pour une cravate. Pour choisir entre une veste rouge et une bleue, il faut essayer le costume à paillettes pour suivre le Dollars dans un numéro de contorsionniste. En ré-industrialisant, la France, n’est pas une fin en soit mais participe aux effort européens. Là où il faut croire aux forces sociales par le travail. Pour savoir ce que cela veut dire, il faut laisser faire les professionnels.