dimanche 7 mai 2023

Places aux cadets

Elle est belle, sans personnalité, sans humanité, c’est la crise que l’on souhaite puis que l’on fuit. Dans ce chao, il y a la vie. Vendredi, NY était au top et le Nasdaq bondissait de plus de 2% en fin de semaine. Sauve qui peut… La crise est partie, la frapper est une question de survie. Ses cris ses pleurs sont autant d’erreurs, des douleurs à apaiser sans les partager. La crise est une mauvaise fille qui veut être femme, une combinaison de relations brisées sur la réalité d’un manque inconnu, dénoncé par une ingénue. Elle est en or et en capacité de crédit, mais partie par dépit. Il faudrait être synchronisé au marché, désespéré en cherchant la lumière, l’étincelle d’une idée sur les restrictions de la pensé comme une ressource limité. Il faut l’imaginer en créature supralique, changeante comme l’océan, liquide. Cherchez en elle, le taux qui va vous assommer, face à elle appuyé sur la généalogie des Saints. Nous la soutiendrons, par raison. Les difficultés ne nous réunissent pas pour l’équilibre de notre projet, le chantier de notre repo après notre départ. Sur quoi comptez vous? Appuyé sur l’imaginaire pour annuler toute fausse garantie, nous corrigerons vos illusions. D’où viendra la violence inutile pour défendre ses écarts et étéyer le propos, chercher quoi vendre, où acheter sur l’horizon optimum de la réalité écologique et les besoins en protection, des ressources à exproprier pour s’assurer la bonne gestion. Nous boirons un thé responsable et de bon café bien noir. Avec le développement des canabinoïdes, l ‘inconfort des traitement contre le cancer pourrait booster les laboratoires penchés sur la culture et la recherche sur le canabis. En France, nous avons déjà une mythologie autours de la culture du chanvre pour la corderie. La course des junkie commence toujours dans un voyage sans fin, le futur est déjà passé. La géographie change à Kiev, sous la couverture, il fait bon.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire