Doux comment…?

Pour ce qui restera, gardez-en sous le pied, pour soutenir les assurances d’économies spécifiques, dans les détails des dépenses, produisez une cagnotte que vous sèmerez sur les champs du noir et du morbide conjoncturel. Ce n’est pas une monnaie de singe pour des hommes nus, sans argent, dissident d’un système impotent, mais une monnaie soumise à la force et la violence des dominants. Sans rentrer dans la chambre de verre, à vouloir croire en l’autorité, un chien aboit aux Pays-Bas, l’AEX, constant, progresse sur 10 ans sur les 90%. L’Europe devrait vendre ses modèles économiques aux grands chantiers du monde à la COP 28. Les journalistes paniquent, émotifs comme des diamants aux mains des mendiants. Ils revendiquent ce qu’ils ne possèdent pas, de la noblesse pour le pouvoir d’une vie. Ils grouillent dans des républiques ayant perdu leurs âmes et leurs idées. La résilience des banques en temps et sur taux long devrait faire réagir la BCE pour abonder les fonds prudentiels et donner du souffle à l’élargissement et au soutient à l’Ukraine, dans la guerre qui l’oppose à la Russie de V. Poutine. Ne restez pas en colère pour faire du mal à vous même, c’est votre intelligence qui s’éloigne d’un monde réel. Nous ne pouvions faire différemment face à des murs… Doux comment…? Nous attendions un signe, passé le crystal, un enfant entre les mains d’un esprit saint qui s’ignore, contemplatif devant votre mère, la guerre. Puissiez-vous pardonner, la liberté sera épargné. Où étions nous lorsque la colère s’est transformé en haine? Ne cherchons pas l’indice, restons passif et complice des sociétés européennes, un moteur économique pour Dubaï. En 2023, il fallait prendre la corde de la transition écologique pour les 1,5°, et non soutenir une énergie polluante au rabais sur le ralentissement de l’activité chinoise. L’envers du décor, c’est aussi la part de croissance que dégagent les catastrophes