Israël for ever

C'est dans le noir que nous cherchons la lumière, gardons nous du positivisme, en vivant sur la crise et pour la crise, la référence ultime est notre lutte pour soutenir la dette. La Japon reste la norme pour une croissance de 1% avec des taux directeur à 0%. Un fond, une limite en parallèle à l’immobilier chinois qui n’en fini pas de sombrer. C’est pour la dette et sur la dette que nos longues dents rayent le parquet. Audit et notation de dette progressent dans ce contexte de crise comme la tâche de notre Histoire et la déchirure de nos mémoires, avec un rendement moyen, en Yen. Les économie d’eau et de carbone produisent une cagnotte dans la trésorerie des entreprises. Dans ce temps de crises, qui s’accumulent, un temps s’arrête pour en étayer un autre, rester en capacité de savoir vers quelles ruptures se diriger, tout en limitant les risques et les pertes, mécaniquement et collectivement pour faire de la crise et de la dette un liant pour tout rapport social. L’incertitude mondiale fait grimper le Bitcoin à 34 k d’USD et le baril de Brent reste stable à 85 USD. Entre juif et prétendant au service d’Israël, l’épicentre de la douleur sonne en un choc, un procès à l’ONU,… À chaud ! On continue naturellement et de manière organique, les dérégulations financières tout en respectant les balises. Ainsi que A Guterres le prévient, c’est un bouillonnement et des bulles d’oxygène éclatent à la surface bouillante. À 33 000 pts, le DJ pourrai t-il freiner la spéculation sur la valeur marchande? Pour des produits dévalorisé où le luxe tire son épingle, l’activité, c’est aussi cette ébullition, c’est autant d’accidents qui nourrissent l’activité.