jeudi 23 novembre 2023

Une dernière nuit

Faites pleurer vos yeux Mimi, enivrez-vous pour vous relever dans le souvenir, illuminée et seule, une dernière nuit. Pas plus haute mais moins riche, le petit et le grand se rejoignent sous pression, sans nom, en fusion, qui diffuse, refuse ou excuse une stratégie pour une sécurité absolu des rouages de nos économies, à genoux mais toujours debout, qui courent après une pièce de monnaie descendant la butte jusqu’à sa chute. Avec envie ou curiosité, ne renversez rien, au centre de nos anarchie, nous cultivons la misère, valorisons la douleur pour soigner des leçons qui ne servent à rien. La dynamique de la guerre et des États terroristes avec des constitutions obsolètes, mal adaptées aux enjeux de la paix, du savoir ou des nuits sans bruit. Nous laisserons une paire de Ranger’s sur une plage déserté. Vous avez déjà fêté la fin d’un monde. Même aux USA, grâce à l’Union, la question indienne ne c’est pas réglé à travers des massacres légitimes. Il faudrait longer les limites pour passer les frontières à la barbe de la justice, du droit et de la démocratie. Les usages disparaissent des discours à mesure d’une crise qui avance, amorcée par l’information et sécurisé. Ce n’est pas un chapitre inédit mais le capital qui laisse place, dans une société décomposée, à l’anarchie. Binance se fait pincer par la SEC sur les crypto-monnaie et l’AMF prévient contre le blanchiment d’argent et l’investissement dans les économies souterraines. Ouvrons, dans des PMU, des comptes pour jouer et investir à proximité. Dans ses mondes, le taux d’émulsion des délires sont comme les dérives fragiles de républiques sensibles pour une vieille Europe assise sur ses contradictions entre des régions déséquilibrés et des nations dispersés.

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