dimanche 26 septembre 2021

Border line

L’idéologie, en Europe, c’est le travail. Le Bund remonte à -0,024% et l’OAT se maintient à -0,036. En Allemagne, avec les efforts que réclame l’idéologie, les impôts, les taxes, la hausse des prix de l’énergie…, cela devient une dette que nos enfants, nos frères et soeur, en prison ou ailleurs, nulle part, payent de leurs vies, de leurs vertus, de leurs histoires… Alors que la pression immobilière, sur les locataires comme pour les propriétaires, diffuse des frictions, épaulée de leurs alliés politiques, des associations, des ONG, financées toutes par des donations très opaques comme pour des organisations parallèles dans les quartiers. Nous n’iront pas mourir à Verdun ou Berlin. L’activisme, la radicalité accompagne ce changement, dans un monde qui est resté violent. Une violence qui s’exprime dans les débats autours d’une coalition nécessaire dans cette guerre. L’Europe est en reconstruction et nous sommes résigné par le travail, la drogue, les filles et les jeux… L’amour, peut-être. Alors que les élections en France désigneront une part de la politique autours du moteur franco-allemand avec la question : Qui est le maillon faible? Comme on ne peut que s’opposer, on s’en remettra au chancelier nouvellement élu. Jusqu’aux élections européennes en 2024 qui changeront les règles entre Aristote et Hegel. Mais l’on peut croire au présent et à notre pensée. 1,9% d’inflation en France contre 3% en Allemagne, on peut se demander qui a la politique la plus généreuse? Résillience ou résignation, une population traumatisée entrant en destruction et sortant de la société par l’issu de secours : l’Europe dans la ZE.

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