vendredi 10 septembre 2021

Il y a toujours de bons alcools chez l’oncle William…

Le besoin en financement des entreprises, attisent les sociétés de gestion, prêtent à investir sur les capacité d’émissions de dette de ses entreprises frileuses, face à un contexte à risque avec des prédateurs capables de les agresser sans cash pour les racheter. Pour soutenir le plan de relance européen, la BCE fait un geste et injecte encore 900 millions d’EUR, avant la fin des rachats d’actifs. Selon le tapering, à Washington, les vices gouverneurs de la Fed, autours de J. Powell, font le show et le marché note le moindre mouvement de sourcil, de chaque intervenant. L’ambiance est un peu chaude et l’apparence du monde de la finance internationale est en jeu. En France, les relations avec la Chine sont heureuses et bienheureuses dans un pays devenu maoïste depuis 1968, dont le livre de chevet est constitué de discours de Mao Tsé Toung et de l’art de la guerre de Sun Tzu. Une période de tensions internationales sur le tissu des pays qui décrochent au lieu d’amener de la croissance. L’Europe peut tirer, avec son ingénierie, un peu de la croissance mondiale et maintenir un niveau d’existences propre à la consommation et au travail des citoyens européens. Cela même, avec des chômeurs, qui travailleront plus, précarisés par différent boulots, qui augmentent la plus value de la force de travail. De 6.45, le USD passe à 6.44 yuan, mais le Hang Seng progresse dans le vert sur un an à 25.189 pts, il conserve le drapeau orange avec des vents favorable. En France et en Allemagne, beaucoup de prétendants à l’opposition ont décidé de tout remettre en cause, avant des élections très surveillées sur une dialectique qui ne peut déraper. L’Europe a ses tigres, dont l’Irlande, qui promet une croissance à deux chiffres. Evergrande, géant de l'immobilier en Chine est au bord du gouffre avec une dette phénoménale, et qui attend l'intervention de l'État communiste.

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