dimanche 27 août 2023
No passaran
Face aux difficultés liés à l’inflation sévère dans la ZE et à l’instar du Japon, la BCE conserve le choix d’une continuité dans la hausse des taux à la rentré pour ralentir ensuite au T1 et observer l’évolution de la conjoncture. Tout reste à présent spéculation puisque ni la Fed et encore moins la BCE ne communiquent sur les intentions de la banque centrale. On peut penser que ce n’est pas à la société de s’adapter mais bien au tissu économique qui régule selon ses propres schémas, les échanges et le poids des zones commerciales. Sur cette pression, les rentes dictent des situations politiques qui remontent au « père Goriot » alors que personne ne peut croire retourner une situation qui se traduit par un repli aux frontières des traditions et de l’autorité. La lutte, au quotidien et les positions immobilières pèsent sur l’équilibre du modèle remit en cause par des normes et des lois de plus en plus sévères. Un mouvement parallèle, dans le même temps organise spontanément des changement dans la répartition des biens et des propriétés comme valeurs en apesanteur sur des erreurs qui ne sont pas possible au centre d’une dynamique de soutien à l’économie manquant de consommation et du partage des responsabilités en Europe, où il reste des domaines et des pays à investir pour la protection du patrimoine et la préservation de la propriété. Le passé s’étiole et ne laisse aucune particule d’espoir après lui. Le temps recommence sur un sentiment mélancolique d’un confort jamais atteint, un équilibre en danger perpétuel qui s’enfonce avec le monde dans des antagonismes de masses belligérantes, quand les États perdent les outils de la coercition. Dans ce temps du silence, tous peuvent interpréter le vide de plein de matière noire dans la lumière de nos pensées spontanées et collectives face à la crise
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