jeudi 3 août 2023

Une histoire de fric

Une histoire de fric, c’est déjà ça… Fanny danse dans les pages des Echos, enlacée avec un Euro qui nous fait parfois pleurer comme une chanson de variété. Elle sourit comme Harris en triple A. C’est mieux que la fin du mois quand quelqu’un va tirer dans le tas, tuer ce qui ne va pas. Ils aiment l’argent et le touche, sur le souffle et l’instant d’un moment funèbre, un présent pour un anathème. Place de la Bourse, on ne sait jamais quel stylo on ramasse. Ne cueillons pas de tulipe dans les jardins publics. Pour vivre en paix, un premier temps mort jusqu’au dernier silence et le baisé qui renferme un monde en guerre et en Dollars dans les coulisse du cirque. Deux radios allumées pour un peu de calme, un non son, le non sens d’une musique sur les actualités. Une princesse en uniforme de l’armée impériale, un miroir déformé à volonté. La forme initiale ne retourne jamais à son point de départ. Si l’ordre ne convient plus, pourquoi mettre le bazar? Avec une monnaie rare, peut-on croire à un 1/2 point de croissance durant les jeux? Les Dollars viennent du golfe, quand les chiens se taisent et que la caravane passe. La réaction au dépassement, après reconstruction, sera brutale pour une dernière rénovation, avec les animaux de la ferme. Ils sont à l’Ouest lorsque nous sommes à l’Est, ce n’est pas une boussole dans un aéroport. Le gars du Tennesse observe D. Trump faire le show, les armes sont trop nombreuse. Avec 100 Dollars par mois, vous avez un ordinateur, un smartphone et le WIFI pour chercher un travail et suivre l’administratif. Faut-il aider les USA à pousser l’éléphant dans le ravin? Un crapeau embrasse une vipère et vis-versa. Un âne pour les enfants et leurs grands-parents

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