Coupez le courant

Avec la monnaie, nous sommes dépendant et, au lieu de repasser à la frontière de la domestication, les vieux instincts grégaires refont surface sous de multiple formes. Il n’y a pas qu’en Chine que l’immobilier souffre ainsi qu’un souffle coupé, celui de l’air et du feu de l’investissement. De l’argent récolté par des fonds qui captent la baisse dans la pierre et le papier, moins flexible que des fonds qui s’adaptent malgré, parfois le manque d’assurance et de garantie dans certaines mesures, l’incertitude reste à son comble. Dans ses temps incertains, rester prudent semble être l’objectif des épargnants et des investisseurs. L’appétit pour le progrès dans les technologies financières va s’estomper à mesure de la crise et au service du déficit, lorsque les indices positifs sont faussement interprété pour de bonnes nouvelles. Personnes ne peut comprendre des comptes en négatif, un côté noir qui fait face, une grimace comme le singe allant toujours plus haut. Nous irons tous au diable pour nous diriger en enfer. Au temps du réchauffement climatique, posons nous la question de savoir combien un ouvrier coûte en terme d’émission de CO2. Au lieu de baisser les impôts de production, coupons le courant, insistons sur un revenu universel pour faire baisser le nombre de travailleurs et économiser le climat, notre santé et le bien être bientôt taxé pour faire chauffer l’industrie. Pendant que, en France, les verts et les écologistes se cherchent sur un morceau de rap, le PS ratisse et veut toute la place pour soutenir l’État et l’économie de papa. Le produit sera notre avenir, votre enfant en devenir, avec son assurance pour l’intégrité de son exigence. On prévoit notre renaissance en France, quad il ne reste que la mort et la fin sur la convergence observé dans la rue, à l’horizon, la nuit.