mardi 22 août 2023

Panier de crabes

Par la pensé du vide, le vertige décline sous les pieds de l’équilibre, qui nous attire. Sans hériter duperais, ils restent en déshérence, des individus perdus dans un monde inconnu. La religion du capital, c’est encore le travail qui fait son temps comme l’idéologie allemande. C’est le salarié qui paie de sa personne, avec ses besoins et ses avoirs pour s’intégrer. On ne consomme pas le travail, on y laisse sa peau comme un désir d’activité contre l’ennui et l’isolement, sans objet ou produit social à communiquer et partager au sein de toutes relations, dans un monde normal, ainsi qu’on le connait, riche et plein d’espoir, d’avenir et de plaisirs. Aux USA, au regard de la décote, Moody’s, puis Standard&Poor dégradent les notes de plusieurs banques américaines. Les BRICS, pour se prémunir de l’hémorragie des pays occidentaux insistent pour théoriser une monnaie alternative au Dollars, ils prétendent ainsi bousculer l’ordre géopolitique dans un contexte de chamboulement. De l’Ukraine au Sahel, le monde se déchire et s’oppose à l’économie occidentale que les peuples rejettent pour ne pas reconnaître une dette qui ne les a pas propulser, ni au confort, ni à la liberté du modèle d’émancipation proposé en friction avec les bailleurs de ce crédit. Le cycle des années 1980 se termine à ses limites avec une pression sur l’obligataire et un taux 10 ans US à 4,34%. Pour endiguer le crime, il faut lutter contre la pauvreté, mais est-ce aux pays riches de le faire? Le monde ne peut plus payer la dette avec des taux qui flambent, victime de leurs besoin de rendement, observer de bas en haut de la hiérarchie administrative. Au menu, les déficits, au programme des estimations de croissance qui progressent dans tous les sens. Dans un protectionnisme ambiant, les pays se cherchent une identité pour pallier à la fragilité d’un système à bout de souffle. Freiné par la crise, les BRICS cherchent à réguler la croissance mondiales, ne pouvant la payer.

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