Le dollars grimpe avec le baril

En traversant les ténèbres, cher lecteur, j’observe dans les yeux du collège, des larmes qui ne viennent pas, stabilisées avec agressivité pour un moment juste, un instant et un monde, un verre du sang chaud de la jeunesse, pour le bonheur de tous et la joie du consommateur. Aux USA, cette semaine, sur 103 Mrd de dollars d’obligations du trésor américain, seul 73 Mrd sont adjugés, essentiellement en Europe alors que la Chine en était écarté, trop risqué. Ce Vendredi, les bourses de la ZE chutent de plus de 1%, la pourriture pourrai faire des émules et mélanger une société bien secoué. Avec un Baril de brut à 86 USD en Mer du Nord, l’inflation ne baisse pas et n’est pas derrière nous. Un petit mieux sur l’alimentaire mais le carburant prend 20 cents d’Euro le Litre, à la pompe en France. Les fonds anti woke ne font pas recette et les folles de ses dames font scandale à Carnaval. C’est pas trop fatiguant d’être savant. Le temps, bien sure, ne correspond pas toujours avec les dates et les délais, c’est une course sans fin et sans idée, dans la nuit de la pensée, nul part mais bien ailleurs, sur les flux de l’essence et de l’activité. Cherchez la femme, entre la poupée made in Holland et la sorcière accro aux jeux d’argent. À la BCE, on est passé de la pédagogie pour la transition dans une forme de restriction, elle n’achète plus de dette, en réduisant modérément les liquidités au fur et à mesure de sa politique sans carnet de route et dans un contexte de renforcement de la monnaie américaine. A quoi servirai t-il de pensée si ce n’est pour appréhender le risque en présumant du danger?