Pas de révolutionnaire sans révolution

Sans révolution pas de révolutionnaire, le règne du scientisme touche son apogée et la fuite s’affole, dans un possible différent, une source d’espoir mais aussi la perte de son intelligence, en panique, là où s’agitent des nuées d’instants, d’images négatives dans l’histoire et l’actualité. Des médias interposés sur un débat ou au nom de la contradiction, la culture ne reflète que les aspirations des auditeurs et des lecteurs. En France et aux USA, c’est l’expression socialiste d’un ennemi particulier pour clients avisés. Il faudrait qu’elle soit contre et opposé à toute idée, vous avez fait la moitié du chemin et maintenant, on vous attend à la seconde. Vous faites bien, votre vie gagne en valeur, comme pour les chiens qui ne comprennent rien. Revalorisez le vivant dans vos investissements, notre existence prend de l’importance. Ce que vous perdez, c’est le gain pour votre présent à venir, des erreurs que vous allez refaire pour profiter du gain à revaloriser sur les pertes futures. Ils laisseront le désespoir, le même qui en on fait des hommes. L’équilibre se sert du déséquilibre dans le vertige d’une illusion admise, un système acquis par l’expérience de la crise, celle là même qui bâtit notre avenir sur les cendres de notre devenir. Un avenir où s’accentue, s’accumule les crises et autres déséquilibres dans tous les domaines de l’économie que vous pouvez ajuster sur votre enfant, mais pas à 100 an, plutôt à puissance 100 ou même 1000. La richesse, c’est la dette qu’on te laisse, la pauvreté, la misère et les restes… De l’envie d’être à vouloir avoir. Il n’y a pas d’ange, mais des petits diable et de grands démons. Dans la chambre de nuit, les flammes que jongle le frère, tournent vite, toujours plus vite pour que la lumière fut. Conforme ou informe, mais formel