Ainsi va la chute

Avec beaucoup d’inconscience et de lucidité, nous choisissons la voix positive pour nous écarter d’une observation critique, dans les sciences. Il y a des circonstances, des limites à dépasser, des frontières de la poésie et de la théorie. Pour chercher, sur les distances d’une relation, la résistance de celle-ci, dans le négatif, nous n’apprenons pas à rire mais à nous relever. Des distance aux contours des mesures qui nous laisse entrevoir un espace pour le rêve et l’aventure, plus ou moins éloigné du sujet. On relève une image positive de l’économie dans le regard de ceux qu’on aime, sans ambition, inscrirent sur la contradiction, la forme et la raison égaré de la liberté. La solidarité avec la colère, dans une dépression à laquelle, accordé, désespéré, une histoire de crise qui offre, dans une lutte universelle, le vivant. Nous ne sommes pas de service, dans cette relation en guerre, un loup autour d’une meute ou à travers une loupe. Nous travaillons trop longtemps dirai un opposant au nouvel âge de la retraite ou défenseur du climat. La démocratie vieillit et reste une utopie. Pourtant, sans démocratie, moins de mouvement, moins de business. Entre les déchets, des mots en trop, des images en plus, c’est la chaise vide qu’on laisse.