mardi 20 juin 2023

L’apogée du mensonge

Plus que faire appel aux influenceurs et aux publicistes, l’État pourrait offrir des facilités pour la filière commerciale en proposant des bourses et des universités « gratuites » pour les étudiants qui aiment l’argent. La France est certainement une influenceuse, pour sure, elle qui a l’habitude de vivre à crédit, 10 Mdrs d’économie c’est aussi pour les entreprises qui s’installent dans l’hexagone. Participons-nous à la publicité pour faire cracher nos aînés… Certains entrepreneurs ce sont gavé pendant le « quoi qu’il en coûte » et n’ont même pas gardé leur salariés. Aujourd’hui c’est au français de payer la note. Les choses se font à l’envers, car l’économie est à rebours. B. Le Maire va la retourner dans la fiction collective d’une révolution onirique. Une seule voix pour la France, l’activité et la croissance, avec une inflation élevée, une consommation atone et une production en difficulté d’approvisionnement Ce n’est pas que le crédit qui fait monter l’inflation, la hausse des taux de la Fed ne peut résoudre le déséquilibre mondial, d’économies au bord de l’épuisement. À l’Est de l’Europe, le rideau se lève sur les ténèbres. Un Dollars plus accessible permet les investissements et une rentabilité mais enfonce les monnaie régionales et place les populations dans les tourments. Les marchés, sur les places mondiales, soutiennent l’activité des pays riches, alors que leurs croissances sont remisent en question, en contrepoids avec une inflation que les banques centrales ont du mal à maîtriser. Avec la fin du crédit, nous redescendons sur terre. Avec les monnaie dévaluées, les pays développés supporte mieux leurs déficits et ce permettent encore des plans de relance et d’investissements dans certains secteur de l’activité. Les déboires de l’immobilier touchent maintenant les marchés sur la haute fréquence des échanges. De plus, la chute du crédit risque de peser sur la démographie, la maltraitance des salariés ne changera rien aux besoin de soins. La sobriété, c’est un mot qui remplace l’austérité, vivre est devenue un luxe. La sobriété pourrait accompagner la décroissance, mais la France continue de miser sur la croissance. Nous crèverons comme les vassaux pour la production et le maintien de la balance commerciale. Il faut trouver un souteneur fiable… Comptez sur vos syndicats pour nourrir les caporaux. Il y aura toujours plus malheureux, mais cela vaut la peine de se battre, comme un coeur et la vertu de notre soeur. Entrecoupé d’attention pour les « fake », pour appuyer une vérité autoritaire, en France aussi c’est l’apogée du mensonge.

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