Le regard du borgne…

Prendre le temps d’organiser son espace et coordonner ses mouvements à ses pensées. Dans le flux continue des sollicitations, retourner vers les outils traditionnels et aux métiers, avant la rapidité de l’image en « cut » ou en « short ». Des courbes financières en mouvement lent. Mais personne ne sait vraiment, dans l’ascenseur si nous montons ou descendons. Il doit s’agir de tuer le temps pour une bonne raison. Une manière d’être sans façon et dépouillé de la culture, puisque les livres se consument. Désolé Pierre et Paul, le prêt à porter disparait. Dans la gamme des frais, Caroll, mais en crise, le M&A, sauf important comme Vivendi, Lagardère, les LBO et autres promesses de gérant déçoivent à terme. En parallèle, en Ukraine, cela fait deux décennies que la Russie construit un bras de terre artificiel entre la Crimée et la Fédération de Russie pour s’approprier la Mer d’Azov et conserver sa flotte à Sébastopole. C’est inestimable de comprendre quelques choses à ce bazar. À négocier sans concession. Il faudrait un bilan provisoire maquillé comme une voiture volée. Le borgne est de travers, c’est une peine. Revenue de Bruxelles en carrosse, l’argent régule nos rapports comme à Francfort où on ne se laisse pas intriguer par des montagnes russes rebaptisées dans l’espace. Les fondamentaux sont fragiles mais restent ad ock. Pour réguler un peu de pauvreté, nous mesurons les internés en cavale. L’eau, la terre, l’air et le feu sont à mettre dans le bon ordre. Les rapport sociaux économiques se dégradent parmi une bande de schizophrènes estampillé CCIJP, baignant dans le luxe, aimés et respecté comme les représentant du droit.