jeudi 1 juin 2023

C’est triste un clown

Certains ne veulent pas voir leur part de subjectivité, d’autres n’en sont pas conscient, qu’elle soit extrinsèque ou intrinsèque. La subjectivité est le miroir de nos politiques et des vagues clowns faisant le spectacle. La misère s’adresse à la pauvreté, rien de bon pour l’avenir, ils spéculeront sur l’art à la place des artistes qui leurs font de l’ombre. Des artistes qui deviendront journalistes ou journaliers en perdant leur représentation, abandonné à l’Histoire. La beauté et le négatif font chambre à parts, égarés entre le discourt et le récit. Les clowns font rire lorsqu’ils tombent puis offre du plaisir, après de multiples acrobaties, en se redressant. Des challenges à chaque spectacle de l’information, de la culture et de l’industrie. Sur l’échelle, on trouvera le singe qui grimpe les niveaux pour attraper une graine. Pas besoins de toucher le fond pour se propulser vers le haut. La monnaie comme le bipède, les peuples et les nations, vivent sous la canope et grimpent instinctivement vers elle. L’animal ne cherche pas le pouvoir, alors que le journaliste et le clown n’ont aucune idée de là-haut. Une existence apaisée, avec la famille et une caravane. La place de la veste est dans le placard, prés de l’autre pour s’amuser d’une bagarre pour une bouteille d’alcool à bruler. Dans cette conjoncture, à l’équilibre sensible et aux mouvements agiles, de Montreuil au Louvre, c’est la même scène où s’agitent des politiques qui construisent contre le voisin. Si vous cherchez des fascistes, vous en trouverez… Mais attendez la fin, F. Ruffin est magicien... Un homme politique n’est ni un singe, ni un clown, c’est un cheval, de trait. Sans compter sur le Franc Suisse, égaré, dans une gare avec le pognon dans leurs bagages. Le crédit Suisse poursuit son hémoragie, pour un Euro plus fort et des investissements moins risqués. Là où sont les clowns pour faire rire les enfants, le sport est un jeu, mais le cirque est un art. Pas étonnant, qu’il soit prisé par des enfants de bourgeois qui se projettent dans des métiers réservés jusque là, aux pupilles et aux enfants de l’ASE. Le rédacteur de Fakir veut prendre sa part pour les amis, les copains et leurs « camarades ». Ils danseront sur la corde… N’ayez peur, les enfants de la classe inférieure se suicident à 10 ans… Séchez vos larmes de crocodile… Crois tu?…

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