vendredi 30 juin 2023

Des économies partagées

L’économie partagée est dans le mouvement, mais on partage plus la dette que la recette. Pour payer cette dette, les enfants et les jeunes générations travaillent de plus en plus tôt et dans un stress de plus en plus intense. D’un côté des économies qui vident nos estomacs et du leur des rendements indécents, de plus en plus élevés. Le rythme de l’inflation ralentie ce mois-ci, lorsque l’on regarde le prix de l’énergie qui pèse sur les dépenses. Mme X, plutôt que s’occuper des puissants et des bailleurs sociaux devraient investir dans le présent pour l’avenir, avec vos partenaires sociaux qui distribuent les salaires et les missions. L’économie partagé, c’est aussi les scop des salarié qui s’approprient des entreprises sans futur. Les journalistes, dans ce contexte ne peuvent intervenir et garde un coup en retard à la suite du mouvement. La critique, au présent, s’oppose et inverse les observations pour en tirer un possible. Les valeurs technologiques souffrent, elles aussi de la hausse des crédits et de la restriction selon des normes d’endettement. On ne partage pas une opinion ou une information, quand la colère, la révolte sont universelles et restent admises. L’économie est bien partagée c’est un fait, aujourd’hui, on nous demande de l’assumer. On ne partage que les pertes, maintenant qu’il n’y a plus rien. La gauche peut toujours danser le quadrille, un pas en avant et deux en arrière. En attendant, nous partagerons l’injustice et la violence que nous subissons tous depuis de longues générations. Les jeunes adultes iront-il en prison pour plaire à la NUPES? C’est eux qui paient la dette. Le retours est souvent violent, sans même une explication. Le RN ne changerai rien mais il permet de ne pas oublier le mal que nous a fait la gauche et la République. Un commerçant, comme pillier de notre économie doit penser à la qualité et trouver le prix juste. Lorsqu’il ne veulent pas entendre parler de la crise, pour notre malheur, nous la vivrons plusieurs fois. L’économie partagée restera le privilège de certains et n’émergera pas dans les conditions actuelles. En attendant, les enfants vivent sur les dettes de leurs parents.

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