Payez leurs des Républiques…!

Il est toujours permit de se racheter, d’être pardonné pour le chemin tortueux qui nous guide parfois vers les mauvais choix. La nature humaine ne pardonne pas souvent, les profits se font sur l’économie du droit, dans le delta du Niger jusque’en Ituri au Nord Kivu, ou le pouvoir de l’argent permet d’exproprier de braves familles installées depuis plusieurs générations. Ne nous parlez plus ou payez, pour commencer ce que vous devez à l’Afrique et aux pays des caraïbes sur l’économie du CO2. À l’endroit, ce sont les pays développés qui ont une dette envers les populations africaines. À Francfort, la BCE est prise dans la course aux taux, à l’autonomie et au resserrement monétaire. À Paris, un sommet annonce les curés du développement et s’en prennent à la pauvreté avec comme alibi, le miroir d’eux-mêmes. La barrière verte du Sahara, c’est aussi pour l’Europe. Au Palais Brognard, les pays pauvres sont négocié à la corbeille. Le FMI est invité à trouver de nouveaux clients disposés à s’endetter et voir leurs notes abaissées de négatif à spéculatif, tout en réduisant les risques pour l’investissement. Les financiers ne sont pas des philanthropes, en collectivité, le vivre ensemble, c’est pas gagné. Les États africains seront-ils prompt au pardon des pays développé sur leur dos. L’architecture de la structure financière, on ne sait pas mais la colonne vertébrale, c’est l’argent et le but n’est pas de s’en démunir. En France, c’est le groupe SIFIJA qui va faire affaire. Alors qu’on fait la fête à JA, les africains ne veulent plus de la France, ni de J. Ferry, ni d’E. Macron. Ce plan financier ressemble trop à une seconde colonisation, une nouvelle pour le bénéfice de grand pollueur, d’assassin, de bandit, de communiste. C’es nous qui avons besoin d’elle, ne faites pas passer les africains pour de bon sauvage. Hors des ondes et loin de la Place de la Bourse, c’est nous qui avons besoin de l’Afrique. À Libre ghetto, nous restons en chien de fusil, position foetus, le museau dans le derrière pour plaire à l’art païen