mercredi 21 juin 2023

Il y a pourtant de bon produit

Le destin n’est pas la raison, nous sommes les témoins d’une résistance humaine aux phénomènes. Les acronymes se chevauchent et la littérature évolue au rythme d’une décadence normée et acceptée. Les économistes utilisent la radicalité, mais en souplesse s’insinuent dans les cercle et les domaines du droit et de la finance. L’univers c'est le chao mais tout est calme, la révolution est de l’autre côté. Individualiste et nihiliste, le banquier reste marginal aux Tuileries avec les drôles. À notre place, ce n’est pas trop pertinent. Pourtant la crise fait naître des vocations et des formations pour des travaux bas de gamme, inadapté aux compétences misent à jour. À l’annonce d’une possible hausse de taux, le 10 ans US se détend à 3,78%, l'Euro se reprend à 1,091 puis 1,098 USD. Le Nasdaq, qui vie sur le crédit encaisse mal la probable hausse des taux et dévisse hier de 1,21% à 13 500 pts, le Bitcoin grimpe à 30k d’USD. Le possible financement de la transition se calcule aussi selon les cours du Dollars et le prix du baril de brut, du KWH et du M2 de gaz. Le plus dangereux, c’est l’utopie, des rêves qui ne collent pas à la réalité. De toute façon, on n’empêche pas la pluie de tomber. C’est aux bailleurs sociaux et à la Mairie de s’occuper des enfants perdus, ils sont élus pour cela. Corrompus du sommet à la base, il y a pourtant de bon produits dans les quartiers. Du travail pour Anticor si le pouvoir laisse enquêter sur le présent des classes populaires, des charges qui ne baissent pas malgré les travaux de rénovation thermique, lorsque l’on étouffe en Été

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire